Optimiser la guérison de côtes cassées : expérience personnelle

Pourquoi parler de côtes cassées sur un blog dédié à l’hygiène et à la régénération électromagnétique ?

  • Mon expérience peut être utile à certains, et c’est déjà une bonne raison..

  • Les méthodes que j'ai utilisées pour me sortir d'un burnout et d’une forte électrohypersensibilité (parcours de plus de 5 années), se sont avérées également efficaces pour, en seulement 3 semaines, guérir de mes côtes fracturées. Cela est pour moi, une preuve supplémentaire de l’impact de l’environnement électromagnétique sur notre fonctionnement. En résumé, nous sommes fait à plus de 99% de vide (protons et électrons), et les ondes artificielles qui nous entourent viennent nous perturber par résonances et interférences électromagnétiques. Si l’organisme est libéré de cette exposition, il peut alors se consacrer pleinement à la réparation et optimiser la durée de guérison.

  • Tout le monde sait que la santé est multifactorielle, j’ai donc également retranscrit l’ensemble des paramètres mis en place dans cette guérison, avec un penchant pour la médecine et les produits naturels.

C’est une histoire qui commence mal, puisque malgré un choc violent et douloureux, du à une chute en vélo (grille costale flan gauche, hématome à la hanche et entorse de la cheville droite) je décide de ne pas consulter, ni de passer de radiographie, et continue à effectuer les gestes du quotidien (voiture, charges diverses, etc…), histoire de voir comment cela évolue. Malheureusement, au bout de 7 jours, mon état s’aggrave, je n’arrive plus à me débrouiller seul à cause de la douleur trop importante, et je sens mes côtes bouger de plus en plus. De là, je décide de me prendre en main, de me faire aider pour les taches du quotidien, et d’optimiser au maximum le reste :

  • Médecin généraliste : ne trouvant pas de médecin généraliste près de chez moi dans des délais raisonnables, je consulte en ligne (Visio) pour obtenir ordonnances et prescriptions.

  • Radiographies : passées à trois reprises afin de suivre l'évolution, je ne rencontre personne, et le compte rendu m’est envoyé par mail :

Compte rendu radiographique:

- Absence d'hémo/pneumothorax.
- Pas d'opacité pleuroparenchymateuse suspecte.
- Pas d'anomalie de la silhouette cardiomédiastinale.
- Fracture non déplacée de la jonction des arcs moyens et antérieurs de K6 et K7 à gauche.

En clair, deux côtes qui ne se touchent plus, mais non déplacées, fracturées dans le virage (l’arc), ce que l’on appelle les vraies côtes, attachées à l’arrière et à l’avant par le sternum (d’ailleurs la douleur va s'avérer plus intense aux attaches qu’à la fracture même).

  • Kinésithérapeute : Ne trouvant aucun médecin disponible rapidement pour m’ausculter et analyser mes radios, c’est par les réseaux sociaux que j’obtiens conseil auprès de deux kinés (c’est par eux que j’ai pu visualiser les fractures sur les radios). Je fais également une consultation en présentiel, mais sans aucun soulagement et de mauvais conseils.

  • Strapping des côtes : Les côtes commençant à bouger, de façon douloureuses, on me conseille les bandes bleues, à croiser autour des fractures, et cela fonctionne puisque les côtes sont stabilisées.

strapping des cotes
  • La ceinture thoracique : nous sommes en pleine canicule, même si ce n’est pas l’idéal, on me trouve une ceinture de maintien en pharmacie (environ 50 €), du type qui s’enroule avec des attaches faciles. Plutôt pratique, le résultat est au rendez-vous, puisque l’ensemble costal est bien maintenu et je peux légèrement bouger sans tout abimer ou gémir, de plus la pression est facilement réglable en fonction du serrage.

  • Anti-inflammatoire : on me prescrit du “NAPROXENE SEL DE NA 550 mg cp / non stéroïdiens (AINS), je vais en prendre seulement 3 ou 4, car même si la douleur est moindre avec, j’entends que ce type de médicament peut ralentir le processus de réparation, même si bien sûr, réduire l’inflammation est une bonne chose.

  • Paracétamol : j’en prendrai deux par jour les premiers jours, utile pour apaiser, mais je me demande aussi si ce n’est pas la cause de l’apparition de fortes éruptions cutanées.

  • Immobilité : très pénible de rester enfermé pendant des jours en pleine canicule, mais indispensable. J’ai investi dans un support de buste pour resté en position semi assis.

  • Marche et mouvements : chaque jour une marche de 30 mn à 1h, je suis allé jusqu’à 3h mais trop long en terme de douleur.

  • Sommeil profond et repos : essentiel à la réparation, trouver la ou les positions idéales, bien que la douleur et les compensations resteront souvent inévitables.

  • Bains de soleil : essentiel pour la vitamine D, le plus possible, surtout dès le réveil (sur mon balcon).

  • Respiration : je fais comme je peux de légers exercices de respiration, du style cohérence cardiaque.

  • Hygiène de vie optimale : pas de tabac, ni d'alcool, très peu de glucides à part des fruits, essentiellement des légumes et protéines bio, quelques rares féculent et aucun produit transformé. Quantités maitrisées et pas de grignotage.

  • Eau à moins de 120 mg de résidus à sec (Ex. en bouteille Mont Roucou), cette mention est présente en vente sur toutes les bouteilles d’eau. Une eau est d’abord faite pour emporter plus que pour nous charger. Bien penser à s’hydrater suffisamment.

  • Eau de mer : Un bain de bouche à l’eau de mer tous les matins, permet à la fois de rincer et de recracher le nettoyage de la nuit, et de laisser une pellicule d’oligo-éléments en bouche..

  • Tisanes (de préférences en vrac)

  • Citron : tous les matins un vers d’eau tiède avec un citron pressé

  • Argile : affectionnant tout particulièrement l’argile pour ses nombreuses vertus, je me fais quelques cataplasmes, avec du sparadrap micropore et des compresses en coton. La cheville se répare très vite.

  • Froid : j’ai tenté quelques application de froid sur les douleurs, plutôt efficace en terme de ressenti, sans savoir si cela à participé à plus.

  • Autres produits :

    - Ortie silice bio (confort articulaire et osseux)
    - Ostéocynésine (fractures homéopathie)

    - Artiliga alpinessences (calcium et +)

    - Magnésium sima

    - Bromelain (anti-inflammatoire naturel) mais pas ressenti l'effet

    - Arnica montana 9 ch (homéopathie)

    - Euphytose nuit (aide à l’endormissement)

    - Harpagophytum arkho (articulation homéopathie)

  • Pommade : j’ai utilisé Traumaplant (je précise que n’ai aucun partenariat ou autre avec les produits de cet article) que l’on m’a présenté comme une alternative efficace aux anti-inflammatoire AINS, c’est un produit que je me suis procuré en Suisse aux environs de 15 €. Préparation à base de consoude, elle favorise la cicatrisation et possibilité d’y mélanger quelques gouttes d’huiles essentielles. Appliquer 3 à 4 fois par jour sur la zone douloureuse, sans masser fort, juste en effleurant.

  • Huiles : huile de cameline ou l’huile de colza (première pression à froid)

  • Micronutriments essentiels : liste pour la reconstruction osseuse que l’on m’a recommandé :

    • Calcium : légumes verts (brocolis, bok choy), amandes, graines de sésame...

    • Magnésium : cacao cru, amandes, graines de courge, bananes, quinoa...

    • Vitamine D3 : soleil + complément (D3 végétale recommandée…

    • Vitamine K2 (MK-7) : natto (soja fermenté), compléments

    • Zinc : graines de courge, légumineuses, noix de cajou...

    • Silicium organique : ortie, prêle, bambou

    • Vitamine C : agrumes, kiwis, acerola, baies

    • Omega-3 (EPA/DHA) : huile de lin, chia, noix (ou algues pour DHA)

  • Huiles essentielles : voici un mélange que l’on m’a également recommandé (à utiliser comme anti-inflammatoire en massage local. HE toujours diluées dans une huile végétale, jamais pures, massages doux sur le thorax et la zone douloureuse, appliquer 2 à 3 fois par jour) :

  • HE gaulthérie couchée (Wintergreen) – 2 gouttes

  • HE lavande aspic – 2 gouttes

  • HE eucalyptus citronné – 2 gouttes

  • HV arnica ou millepertuis – 1 c. à soupe

  • Autres conseils :

    • À éviter :

      • Port de charges lourdes

      • Mouvements brusques ou prolongés du haut du corps

      • Pression ou massage appuyé sur la zone douloureuse

    • Pour la vitamine D, la meilleure source est de s’exposer à la lumière naturelle, en découvrant le visage, les bras et le thorax.

    • Mobiliser son corps progressivement, en restant à l’écoute des douleurs,

    • Le mouvement aide aussi à activer le processus de guérison, c’est important de ne pas rester complètement immobile.

    • Garder un état d’esprit positif favorise la guérison.

    • Il faut être patient, la guérison d’une inflammation du sternum ou du cartilage est souvent longue et douloureuse.

Conclusion :

A l’image d’une bonne hygiène de vie, les pollutions basses (électricité) et hautes (ondes) fréquences, altèrent notre fonctionnement électromagnétique naturel, il est donc logique que la réparation soit plus efficace sans ces freins. Chacun reste libre de ses choix et actions, j’espère que ce partage pourra aider certains ou certaines d’entre vous à passer ce type d’épreuve avec plus de facilité.

Bien à vous…